La Sicile !
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La Sicile !
Un petit extrait du livre THE WAY WE WERE !
LA Sicile
La Sicile ne devait pas porté chance aux Médics. Le Docteur Kurt Klee sauta
En plein devant un bunker ennemie et fut tué immédiatement ; sans doute même avoir touché le sol.
En ce qui concerne le 1er Bataillon, à Biazza Ridge, près de Gela, un obus de char tua Art Gorham, le commandant du bataillon. Le Docteur Carl Comstock, témoin de l’événement, se porta à sont secours et ce sous les yeux de l’équipage du char. Le char ouvrit le feu sur lui, le touchant à la tête. Il fut évacué, non sans mal, grâce à beaucoup d’aide et de cour âge.
Nous avons ensuite perdu sa trace, mais une rumeur disait qu’il était en route pour les USA. Cette blessure aurait été fatale avant d’avoir les sulfas et la pénicilline.
J’appris plus tard qu’il survécut et décéda plusieurs années après, d’une autre cause. Le courage dont fit preuve Carl pour aller se mettre devant ce char était admirable.
Ce que nous avons vécu après, en Sicile, était le quotidien de tout un chacun ; chaleur, soif, cachets d’atabrine (un préventif contre la malaria), longues marches (pour ma part en jeep) attaques de diarrhées, jaunisses, malaria. Bref de quoi vous inconforter mais heureusement pas de quoi décimer un régiment. Nous étions chanceux !
Souvenirs de Doc Franco.
Capt. Pete
LA Sicile
La Sicile ne devait pas porté chance aux Médics. Le Docteur Kurt Klee sauta
En plein devant un bunker ennemie et fut tué immédiatement ; sans doute même avoir touché le sol.
En ce qui concerne le 1er Bataillon, à Biazza Ridge, près de Gela, un obus de char tua Art Gorham, le commandant du bataillon. Le Docteur Carl Comstock, témoin de l’événement, se porta à sont secours et ce sous les yeux de l’équipage du char. Le char ouvrit le feu sur lui, le touchant à la tête. Il fut évacué, non sans mal, grâce à beaucoup d’aide et de cour âge.
Nous avons ensuite perdu sa trace, mais une rumeur disait qu’il était en route pour les USA. Cette blessure aurait été fatale avant d’avoir les sulfas et la pénicilline.
J’appris plus tard qu’il survécut et décéda plusieurs années après, d’une autre cause. Le courage dont fit preuve Carl pour aller se mettre devant ce char était admirable.
Ce que nous avons vécu après, en Sicile, était le quotidien de tout un chacun ; chaleur, soif, cachets d’atabrine (un préventif contre la malaria), longues marches (pour ma part en jeep) attaques de diarrhées, jaunisses, malaria. Bref de quoi vous inconforter mais heureusement pas de quoi décimer un régiment. Nous étions chanceux !
Souvenirs de Doc Franco.
Capt. Pete
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